Selon le directeur général de l’Agence nationale pour les énergies renouvelables (ANER), Djiby Ndiaye (photo), le Sénégal accueillera bientôt 115 000 nouveaux lampadaires solaires. La première phase de ce projet a permis d’en installer 50 000. Cette deuxième phase sera lancée d’ici la fin de l’année.
Le projet d’installation de lampadaires solaires a été initié par le Président de la République. Il a été confié au ministère du Pétrole et de l’Energie à travers l’ANER. Le projet a pour objectif de généraliser l’utilisation de l’éclairage public solaire sur l’ensemble du territoire national. « Toutes les communes qui n’ont pas pu bénéficier de la première phase vont être servies dans la deuxième phase », a déclaré Djiby Ndiaye. La deuxième phase du projet sera lancée après la signature du contrat.
L’ANER a initié le 22 juin dernier un atelier de sensibilisation sur le financement des projets d’utilisation productive des énergies renouvelables. A cette occasion, le DG de l’ANER a estimé que de nombreux projets, notamment d’équipements productifs, ne trouvent pas de financement. Pour lui, les institutions financières ne comprennent pas assez les enjeux liés aux équipements productifs, aux énergies renouvelables et au potentiel du marché.
Selon un document de l’atelier, « La particularité des projets d’énergie renouvelable est qu’ils nécessitent d’importants investissements initiaux, mais n’impliquent pas beaucoup de coûts opérationnels par la suite. Ce qui rend très probable que les investissements initiaux soient rentables à moyen et long terme ». Le document suggère donc d’établir un lien solide entre les énergies renouvelables et le secteur financier afin de garantir le bon fonctionnement du marché.
Agence Ecofin
Le projet d’installation de lampadaires solaires a été initié par le Président de la République. Il a été confié au ministère du Pétrole et de l’Energie à travers l’ANER. Le projet a pour objectif de généraliser l’utilisation de l’éclairage public solaire sur l’ensemble du territoire national. « Toutes les communes qui n’ont pas pu bénéficier de la première phase vont être servies dans la deuxième phase », a déclaré Djiby Ndiaye. La deuxième phase du projet sera lancée après la signature du contrat.
L’ANER a initié le 22 juin dernier un atelier de sensibilisation sur le financement des projets d’utilisation productive des énergies renouvelables. A cette occasion, le DG de l’ANER a estimé que de nombreux projets, notamment d’équipements productifs, ne trouvent pas de financement. Pour lui, les institutions financières ne comprennent pas assez les enjeux liés aux équipements productifs, aux énergies renouvelables et au potentiel du marché.
Selon un document de l’atelier, « La particularité des projets d’énergie renouvelable est qu’ils nécessitent d’importants investissements initiaux, mais n’impliquent pas beaucoup de coûts opérationnels par la suite. Ce qui rend très probable que les investissements initiaux soient rentables à moyen et long terme ». Le document suggère donc d’établir un lien solide entre les énergies renouvelables et le secteur financier afin de garantir le bon fonctionnement du marché.
Agence Ecofin
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